Retour sur l'édition 2023 du Fespaco
SERGE ARNAUD
0
490
Organisé sur le thème “La culture de la paix”, le festival a rassemblé de nombreux cinéastes du continent qui ont pu y présenter leur film, exprimant leur message à travers leur art.
Quinze films ont participé à la sélection officielle du Fespaco 2023 pour briguer l'Étalon d'or de Yennenga, un trophée assorti d'un prix d'une valeur de 20 millions de francs CFA, soit l'équivalent de 30 000 euros.
Et c’est finalement le Tunisien Youssef Chebbi qui s’est distingué et a remporté l’Etalon d’or du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco) le samedi 4 mars avec son film Ashkal, l’enquête de Tunis, présenté au festival de Cannes en 2022.
L’histoire du film commence en 2010, à l’aube de la révolution du Jasmin. C’est pour l’heure dans un no man’s land de béton aux dédales infinis et où tout semble figé, que le réalisateur campe son histoire et fait déambuler deux inspecteurs, Batal (Mohamed Houcine Grayaa) et Fatma (Fatma Oussaifi).
Cette année, on retient également la mise en valeur du Mali, faite à travers son cinéma résilient. Le pays, voisin du Burkina Faso, est aussi dirigé par des militaires et la cible fréquente d'attaques jihadistes.
C’est pour célébrer la poésie d’un cinéma qui célèbre la paix dans ces conditions, que le Fespaco a rendu un hommage particulier au 7e art malien.
Quinze films ont participé à la sélection officielle du Fespaco 2023 pour briguer l'Étalon d'or de Yennenga, un trophée assorti d'un prix d'une valeur de 20 millions de francs CFA, soit l'équivalent de 30 000 euros.
Et c’est finalement le Tunisien Youssef Chebbi qui s’est distingué et a remporté l’Etalon d’or du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco) le samedi 4 mars avec son film Ashkal, l’enquête de Tunis, présenté au festival de Cannes en 2022.
L’histoire du film commence en 2010, à l’aube de la révolution du Jasmin. C’est pour l’heure dans un no man’s land de béton aux dédales infinis et où tout semble figé, que le réalisateur campe son histoire et fait déambuler deux inspecteurs, Batal (Mohamed Houcine Grayaa) et Fatma (Fatma Oussaifi).
Cette année, on retient également la mise en valeur du Mali, faite à travers son cinéma résilient. Le pays, voisin du Burkina Faso, est aussi dirigé par des militaires et la cible fréquente d'attaques jihadistes.
C’est pour célébrer la poésie d’un cinéma qui célèbre la paix dans ces conditions, que le Fespaco a rendu un hommage particulier au 7e art malien.
